On a tous entendu et on continue d’entendre « la nourriture en hôpital et en clinique, c’est pas bon ! » J’ai compris une chose en faisant ce film, la qualité de la nourriture dépend de nombreux paramètres : les moyens que veulent mettre les établissements dans cette charge, mais aussi la façon dont la société de restauration gère la problématique, la qualité du cuisinier, la qualité des produits… Elior s’efforce de choisir des producteurs locaux, de cuisiner sur place, de contrôler les plateaux qui partent chez les patients. J’ai personnellement déjeuné là-bas, j’avais le même menu que les autres patients, et très honnêtement, c’était bon. Les deux films donnent un aperçu du cheminement du produit, du producteur à l’assiette.